Bon bah à la demande de sok je vais poster au fur et à mesure ma fic.
Attention cela n'a aucun rapport avec Oblivion.
Je m’appelle Dromar Dentor, si cous lisez ces lignes c’est que je suis mort…
…J’arrive à une frontière. Ce n’est plus de mes mémoires et de mes réflexions passées que je traiterais en continuant mais de celle présentes et futur. La définition même du genre m’ordonne de mettre fin aux miens car ce qui va suivre serait d’espèce propre aux caractères subjectif et spontané du journal intime. Le doute qu’en à la décision à prendre me tenaille. Il est vrai qu’une œuvre pareille serait quasiment un précédent dans toute la vaste histoire de la littérature. Je dis « quasiment » considérant que je ne dispose d’aucun souvenir qui mentionne l’existence d’un tel fait ; mais l’Histoire à ses parts d’ombres et qui sait ce qui se cache à l’intérieur. Que faire ? Arrêter ? Innover ? Le choix est des plus dur. Ce qui est difficile n’est pas la question en elle-même, c’est ce que la réponse apporté va représenter, va dire. Continuer où ne pas continuer n’est pas important dans les faits. On touche à l’insignifiance. L’importance est dans le symbole. Oserais je renverser les barrières qui m’entravent ? Vais-je sortir de ma « bulle » confortable et rentrer dans l’antre terrifiante de l’inconnu ? M’émanciperais je ? Je suis à la frontière.
J’ai consultais mon moi de la manière la plus profonde qui soi. J’ai soupesais chaque décision et j’en suis arrivé à la conclusion que le fait de continuer violerait certes toutes les règles du genre que je m’étais donné, mais que cela y provoquerait par intermittences un retour afin de pouvoir rendre compréhensible des raisonnements et des sentiments pouvant m’assaillir et qui seraient de prime abord totalement « surprenant » sans la connaissance des faits passés. Or ce compromis m’amène à considérer que je ne ferais qu’enrichir mon œuvre en la rendant que plus intéressante vis-à-vis du sens que je voulais lui donner. Je conçois que ce raisonnement puisse paraître légèrement incongrue mais il me semble que j’ai tout à y gagner par rapport à mes objectifs. Je suis donc sur le chemin de l’innovation et je me permet de reprendre les termes utilisés par un grand écrivain de la Terre d’avant la Grande Guerre, Jean Jacques Rousseau afin de rendre la chose plus formel: « Je forme une entreprise qui n’eut jamais d’exemple et dont l’exécution n’aura point d’imitateur ». J’ai dépassé la frontière.
On peut dire désormais que j’entre dans le premier jour de cette partie « journal ». Je suis au début d’un projet et comme tous début les mots manquent. Parfois c’est l’idée de départ qui fait défauts. Parfois sa formulation. Quoi qu’il en soit je me dois de commencer alors commençons.
Cette journée fut en moi marqué du sceau de l’anxiété voir de l’angoisse. L’origine est du à un événement qui c’est produit il y a trois jours précédent. Rationnellement et en ne s’arrêtant qu’au fait présent rien ne peut expliquer une telle réaction de ma part. Pourtant dès l’instant où cela arriva je ressentis le déclenchement d’une sirène d’alarme intérieur très forte. La cause fus pour moi facile à comprendre en me basant sur certaines parties de mon passé, d’où l’importance comme je le disais de maintenir le lien passé/présent afin de saisir l’ensemble. La journée avait pourtant bien commencé dans le calme et la tranquillité quand…
Extrait de Mémoires ténébreuses de l'Urmal Dentor Dromar
Il s'agit de l'introduction du premier chapitre.
Je le posterais bientôt.